La Frite, et patati, et patata!!











" Histoire passionnée de la frite"


Etienne Moulron

Petite préface d'Alex Vizorek


De la pomme de terre et de sa découverte par les conquistadors à la « friterie » telle qu’on la connaît aujourd’hui, découvrez l’Histoire de la frite, bientôt classée au patrimoine immatériel de l’UNESCO.

Saviez-vous que...

... la pomme de terre a longtemps été interdite par l’Église, car elle était considérée comme une « plante diabolique » ?

... la guerre de Crimée a joué un rôle important dans la démocratisation du paquet de frites dans les fêtes foraines ?

... le premier témoignage mentionnant la frite date de 1760 ?

... sainte Thérèse d’Avila était une grande amatrice de pommes de terre frites ?
... certaines personnes développent un syndrome d’auto-brasserie et atteignent l’ivresse rien qu’en mangeant des féculents ?

... ce n’est pas à Bruxelles que l’on vend le plus de paquets de frites par jour mais... à Shanghai ?

... Marie-Antoinette accrocha des fleurs de pommes de terre à sa boutonnière afin d’encourager les Français à introduire ce mets sur leur table ?

Dans cet ouvrage original et décalé, Etienne Moulron invite le lecteur à une promenade gourmande autour de la frite, devenue un symbole, à travers ses origines, son histoire et les différentes façons de la cuisiner et de la manger !

ISBN : 978-2-87466-479-3
Prix TTC : 16,90 €
Date de parution : 11/01/2018 http://editionsjourdan.com/

Pour l'obtenir:

Merci de m'adresser un chèque de 20 € à cette adresse:

Etienne Moulron
1, avenue Pierre le Vénérable
71250 CLUNY

P.S: Pour la Belgique , merci de me contacter : emoulron@gmail.com


Voyez cet ITW sur TV5 Monde :






  

L'auteur

Né en Belgique, pays à haute tradition humoristique, Etienne Moulron a travaillé plus de 35 ans dans le secteur de la librairie et de l’édition. Il est entré en humour, comme d’aucuns entrent en religion, et c’est en cet esprit qu’il fonda en 2006 à Cluny « la Maison du rire et de l’humour » et créa en 2008 le « Prix Humour de résistance » ! Il est l’auteur du livre « L’Humour Attitude, Petit Traité de Savoir-Rire » (Ed. de la Maison de l’Humour-2012) et du « Petit éloge de l’Humour et du savoir-rire en attendant la mort » (Ed. du Petit pavé-2017).
                                                      Images intégrées 1

CLUNY – ÉDITION 

LE 04/02/2018

Un Clunisois historien de la frite

Etienne Moulron, drôle de Belge installé à Cluny consacre un livre à un sujet brûlant : l’histoire de la frite. Un sujet pas si léger et truffés d’anecdotes croustillantes.


Spécialiste de l’humour, Etienne Moulron a, cette fois, décidé de se pencher sur un autre emblème de « la belgitude ».


Comme tout Belge, Etienne Moulron est (quasiment) tombé dans une marmite de frites quand il était petit. Lui qui vit maintenant depuis de nombreuses années à Cluny, n’a jamais renié son amour pour le bâtonnet de pomme de terre. À tel point qu’il lui consacre aujourd’hui un ouvrage entier. Le co-fondateur du village du livre de Cuisery et papa des « Prix de l’humour de résistance » signe Histoire passionnée de la frite , Un livre drôle et très instructif sur une petite gourmandise devenue emblème de son pays au même titre que le surréalisme ou le Manneken-Pis. « Le rapport des Belges à la frite les résume bien, note-t-il. Ils sont fiers de cette spécialité et en même temps ils souffrent d’une petite gêne, d’un petit complexe d’infériorité par rapport à la gastronomie française. »

Française ou belge la frite ?

Mais au fait, les frites que l’on surnomme outre-atlantique « french-fries » (frites françaises) sont-elles vraiment nées dans le plat pays ? Dans son livre Etienne Moulron s’attaque à ce débat brûlant. Une enquête qui entraîne le lecteur sur le Pont-Neuf de Paris ou à Namur sur les bords de la Meuse. On y rencontre un certain Monsieur Fritz, Sainte Thérèse d’Ávila et l’on y fait référence à la guerre de Crimée. Le Clunysois d’adoption affirme au final : « La frite est bien née en Belgique au XVIIe  à une époque où la France ne connaissait pas encore la pomme de terre. »

La frite réunit tous les Belges

Dans ce petit pays qui compte encore aujourd’hui 5 000 baraques à frites, la spécialité concerne chacun : « Socialement la frite intervient à tout niveau. Même les gens chics, même le roi, plongent leurs doigts dans le paquet pour les manger. En Belgique certains en mangent tous les jours ! » La petite allumette de pomme de terre est d’ailleurs l’un des rares sujets qui parvient encore à unir les différentes communautés du Royaume : c’est ensemble que Flamands et Wallons défendent l’entrée de la frite au patrimoine immatériel de l’Unesco. À son retour d’une longue mission dans la station spatiale, l’astronaute Frank De Winne a indiqué que son premier souhait était de manger « un paquet de frites ». Lorsqu’elle rentre à Bruxelles, c’est aussi la première chose que fait l’écrivaine Amélie Nothomb. « Johnny a même fait un soir l’aller-retour Paris-Bruxelles pour faire goûter les frites de la Grand-place à une jolie Parisienne », assure Etienne Moulron.

Frites et bœuf bourguignon

Lui-même, malgré son plaisir de vivre en France reconnaît : « La plupart du temps, je trouve les frites belges meilleures. » Le Clunysois a trouvé la meilleure façon d’accommoder ses deux cultures : « Je mange des frites avec le bœuf bourguignon ! »
Livre Histoire passionnée de la frite par Etienne Moulron, Éditions Jourdan. 16,90 euros

Benoit Montaggioni
****************************************************************************************








TOURNAI
(Belgique)

L’histoire passionnée de la frite belge, 

selon Étienne Moulron







L’histoire passionnée de la frite belge, selon Étienne Moulron
C’est un peu facile, mais on ne résiste pas au plaisir d’écrire qu’Étienne Moulron a vraiment la frite.
ÉdA – 4060782165

Créateur du village du livre de Cuiserey en Bourgogne, 
le Tournaisien Étienne Moulron nous apprend tout 
sur la frite du pays de son enfance.
Bien qu’il se soit installé en France depuis quelques années déjà, Étienne Moulron 
ne renie rien du pays qui l’a vu naître en 1950. Et tout particulièrement à Tournai 
où il a suivi les traces de son papa Émile en travaillant au sein de la bien connue maison Decallonne avant de poursuivre chez Gallimard et Flammarion. Une dernière maison d’édition qui devait le conduire dans la capitale française. C’est aussi en France, à Cuiserez, en Bourgogne du Sud, qu’il fondait le village du livre en 1999.
«Humourologue» reconnu, Étienne Moulron a déjà signé deux livres consacrés à cette thérapie: «L’humour attitude, petit traité de savoir rire» édité par la Maison de l’humour en 2012 et «Petit éloge de l’humour et du savoir rire en attendant la mort» paru aux éditions du Petit pavé, en 2017. C’est toujours l’humour qui dicte le thème d’un autre ouvrage en cours de préparation et dont le titre se veut déjà très évocateur: «Quand on n’a que l’humour pour unique secours…!» Et quand on lui demande s’il est un projet qui lui tient particulièrement à cœur, Étienne Moulron répond: «Le rêve que je caresse depuis plus de 15 ans et pour lequel je me bats en frappant à toutes les portes: la création du futur Musée de l’humour de la francophonie en me rappelant cette phrase que répétait mon père, Émile Moulron, qui s’occupait de rayon disque chez Decallonne: “Il n’est point nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer”» (Guillaume d’Orange)»
Entre-temps, Étienne signe cette «Histoire passionnée de la frite» fraîchement sortie de presse aux éditions Jourdan. Un livre qui lui permet de renouer avec ses racines belges et à travers lequel il évoque, sans se départir de l’humour qui le caractérise, ce précieux symbole culinaire que le monde entier nous envie: la pomme de terre frite. Bien que truffé d’anecdotes aussi croustillantes que le produit qu’elles évoquent, ce livre, préfacé par un (autre) humoriste belge, Alex Vizorek, est une véritable encyclopédie sur la frite. De l’histoire de l’apparition de la pomme de terre sur notre continent, à l’anatomie de la frite, en passant même par les affaires judiciaires dans lesquelles notre frite nationale joua un rôle que l’on imagine même pas… Tout y passe.
Notre symbole national – qui fricote même avec l’Unesco – y est passé à la moulinette des connaissances recueillies à l’aulne de nombreuses recherches effectuées par notre Tournaisien bourguignon. En lisant attentivement son ouvrage on apprend, par exemple et avec étonnement, que ce n’est pas à Bruxelles que l’on consomme le plus de frites mais bien à Shanghai. Ou encore que Sainte-Thérère d’Avila était une grande amatrice de frites.
Lorsqu’on demande à Étienne Moulron s’il lui arrive encore d’en manger régulièrement au pays de Voltaire, il répond de go: «Les seules frites que je mange, et dont je raffole, sont celles que je prépare moi-même avec des bintjes trempées dans de la bonne graisse animale.»
Étienne Moulron revient au pays et sera présent chez Decallonne, le samedi 24 février, pour y faire dédicacer son ouvrage entre 16 et 18 h. Il également en direct sur RTL dans le cadre de l’émission «la curiosité est un vilain défaut», le mercredi 28 février dès 14 h. Le livre est disponible en librairie et sur les plateformes internet comme Amazon et la FNAC. http://editionsjourdan.com/histoire-passionnee-de-frite/





























Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Dialogue entre Salomon et son conseiller en communication, Nissim Ben Yehouda :